LE COL DE LARCHE
C’est un col facile mais long.
Il permet de monter jusqu’à près de 2000 mètres avec ses 1991 mètres.
C’est un col qui fait frontière avec l’Italie « Colle della madallena »
Il passe par Jausiers, le col de la Bonette est sur la droite et cela commence véritablement au croisement avec le col de Vars qui est sur la gauche
C’est un col idéal pour débuter une journée si vous faites plusieurs cols comme celui de Vars en second.
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LE COL D’ALLOS
C’est un col sérieux qui nécessite un échauffement préalable.
La route est étroite ce qui renforce l’impression de difficulté.
La descente réserve aussi beaucoup de surprises par sa technicité.
Pendant l’été, l’accès est réservé aux cyclos de 08h à 11h.
Il y a 2 rampes, une de 6 km à 7,2% à partir du pont sur le Bachelard et la 2e de 8,7 km à 6,6% jusqu’au sommet.
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LE COL DE LA CAYOLLE
C’est un col très long, quasiment 30 km, régulier et dur sur la fin.
La Cayolle est bien quand on le fait en premier car il permet un échauffement pour le col d’Allos et celui de la Bonette
Le col de la Cayolle est dans la famille des cols historiques.
Il y a une formule appelé le trio gagnant partant du col d’Allos puis le col des Champs (2095 m), par Colmars, pour finir par la Cayolle.
Une belle aventure en perspective même si ce sont les 3 versants, les plus corsés.
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LE COL DE VARS
Empruntant le même itinéraire que le col de Larche, Vars est un col énigmatique. Au début, dans les bois, il ne donne pas l’impression d’être compliqué. De plus il part véritablement du croisement de la D900 et de la D902, qui n’est pas un lieu proprement dit. Les derniers kilomètres sont à découverts avec parfois un vent gênant qui rend le col interminable.
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LE COL DE LA BONETTE
C’est un col à faire absolument une fois dans sa vie de triathlète. Toucher la stèle en haut n’apporte rien de plus qu’un accomplissement. La route qui mène au sommet est la plus haute d’Europe. Sur un bitume impeccable, la descente n’est pas mal non plus.
L’ascension part de Jausiers à 8 km de Barcelonnette, il y a une fontaine pour se ravitailler. C’est un col régulier ce qui le rend attachant
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LE COL DE PARPAILLON
Le col de Parpaillon n’est pas bitumé jusqu’en haut, c’est un col de maso.
Les 6 premiers kilomètres, sur route, à partir de la Condamine Chatelard, permettent de se rendre compte de sa difficulté. Après c’est un chemin, à 8%.
Le Parpaillon ne sert qu’à s’exploser, mais les plus curieux ne pourront s’empêcher de s’y mesurer.
Le faire en courant, pourquoi pas ?
L’autre versant part d’Embrun avec un peu plus de route et un chemin similaire et abrupte jusqu’au sommet.
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LA STATION DE SUPER SAUZE
C’est une montée de 10 km qui vous fera aller à 1705 mètres d’altitude.
En courant et tout le long du parcours vous serez en communion avec la nature, Super Sauze est classée comme Station Verte et cela se remarque aussi tout en haut.
L’ascension est moyennement régulière avec des pourcentages élevés et répétés.
Une navette permet de naviguer entre la station et Barcelonnette.
En haut il y a toutes les attractions qu’une station peut apporter.
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LA STATION DE PRA-LOUP
Comme Super Sauze, la station de Pra-Loup est très touristique et propose beaucoup d’activités culturelles et sportives.
Un cinéma, un bowling, du parapente font partie de la liste.
Pour ce qui est de la montée elle commence par 3 km de plat donc idéal pour l’échauffement en course à pied. Après cela monte de façon abrupte notamment au sommet. 500 mètres de dénivelé pile pour une altitude de 1630 mètres.
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